A l'heure où les astres
Dessinent les motifs que le jour
Rend secrets et invisibles
Où le flou lunaire épaissit
Les mystères de l'opale arrondie
Je me plais à succomber à tes charmes.
Ô nuit! Sous ton drap pailleté
Mes paupières couvertes de tes éclats
d'or et d'argent combinés
Se closent et déposent
Dans mon sommeil une part de ton infinité,
Quelques poussières d'étoiles pour des rêves diaprés.