Au bout de l'épuisement
Mais dans le souffle cependant,
Être subjuguée encore
Par la danse triomphante
De la nature rampante
Que l'on croit posséder à tort.
Au bout du chemin, au plateau,
Là où se tutoient la terre
Et les nuages, voir d'en haut
Des pans de couleurs ocres et verts
Un champ d'amour, ses promesses
Le vivant et ses largesses.