Vois comme je tremble,
Vois comme la peur ne me quitte pas,
Et comment elle déploie ses ramures
Et comment elle déploie ses ramures
Et combien elle ressemble
Au temps qui me défigure,
A ce noir dont je te parle parfois
Et qui m'envahit, me noie.
Mon amour, je ne m'en remettrai pas
Si un jour tout ça
S'arrêtait par ma faute ou pas...